
En cet été 2019, la vigne est soumise à rude épreuve.
Avec les épisodes de canicule, « nous sommes en train de faire
cuire le mildiou » se félicitait un viticulteur à Saint-Émilion.
Ce stress hydrique est important sur la gestion du potentiel
oenologique du raisin, notamment en termes de composés
phénoliques. Mais d’autres facteurs, comme le stres
azoté, sont à prendre en considération.
Et des adaptations culturales sont à envisager.
Article réservé aux abonnés