
Quel est l’impact de l’oxygène sur la qualité en fonction de la quantité globale apportée au vin, la façon dont elle est apportée et à quel stade d’élaboration ? Quel optimum et stratégie faut-il adopter en fonction de la typologie du vin, blanc, rosé, rouge, des objectifs et des profils souhaités ? C’est pour répondre à ces questions et produire des références objectives qu’un groupe de travail à l’échelle nationale s’est constitué à partir de 2011.
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